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Le PDG de l'agence reçoit une peine de prison pour harcèlement sexuel sur mineur

Le PDG de l'agence reçoit une peine de prison pour harcèlement sexuel sur mineur

Le PDG d'une agence non identifiée a été condamné pour harcèlement sexuel à un mineur qui tentait de passer une audition.

Le 22 décembre, il a été révélé que l'accusé, connu sous le nom de M. Yoon, 48 ans, avait été inculpé par le tribunal du district de Séoul Nord pour avoir enfreint la loi sur la protection de l'enfance. M. Yoon a été condamné à huit mois de prison, ainsi qu'à un cours de réadaptation pour délinquants sexuels de 40 heures et à une restriction de travailler dans tout lieu de travail qui sert des enfants, des adolescents et des handicapés pendant trois ans.

Les accusations surviennent après que M. Yoon a dit des choses inappropriées à la jeune fille de 17 ans, appelée A, qui comprenait: «Donc, vous avez été violée par des adultes en errant négligemment» et «Avez-vous déjà été dans une relation avec un homme? À quel âge avez-vous commencé à sortir? "

Le juge président a déclaré: «En utilisant une audition comme raison, M. Yoon a convoqué la victime dans l'espoir d'être une célébrité et l'a harcelée sexuellement. Ce n'est pas seulement une question des circonstances du crime, de la loi ou de l'âge de Mlle A qui détermine qu'il s'agit d'un crime, mais aussi le fait que Mme A a subi un choc mental considérable pendant un moment de son la vie quand il forme ses propres valeurs et identité sexuelle. "

Le juge, "Même maintenant, M. Yoon ne réfléchit pas sérieusement à ses propres actions et continue de s'excuser."

M. Yoon a demandé un procès en droit inconstitutionnel pour tenter de retirer les charges. Il a déclaré: "Il est inconstitutionnel de déterminer si une humiliation sexuelle peut être infligée à un enfant de moins de 18 ans selon les critères des victimes habituelles".

Un procès en droit inconstitutionnel est un système qui détermine la constitutionnalité d'une loi et, s'il était jugé inconstitutionnel, ferait cesser sa validité. La loi actuelle sur la protection de l'enfance interdit tout acte susceptible de causer des désagréments ou une humiliation mineurs et prévoit que toute violation de cet acte serait punie comme du harcèlement sexuel.

Le tribunal a rejeté la demande de M. Yoon. «Nous ne devons pas juger si la fille s'est sentie ou non victime de harcèlement sexuel, mais plutôt juger si les actes [de l'auteur] étaient ou non du harcèlement sexuel objectif. Nous n'écouterons pas le témoignage de M. Yoon. »

Selon la police, M. Yoon a contacté Mme A plus tôt cette année, lui envoyant un message disant qu'il était PDG d'une société de divertissement et l'avait recrutée via sa page Facebook.

La police a déclaré: «M. Yoon a continué à lui poser des questions sexuelles et à parler de sa propre expérience sexuelle tout au long de la conversation. Mme A a fourni des transcriptions qui sont devenues des preuves décisives dans l'affaire. »

M. Yoon a interjeté appel du verdict le 16 décembre.